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Pas Cher Chine a rendu un hommage appuyé au modèle d'autoritarisme et de prospérité bâti par Lee Kuan Yew.
Les médias officiels chinois ont rendu hommage au père fondateur de Singapour, Lee Kuan Yew, avec autant d'emphase que s'ils portaient le deuil de l'un de leurs propres dirigeants. Avec sa mort, lundi, la Chine communiste a perdu un modèle, qui lui a montré la voie d'une «démocratie guidée», teintée d'autoritarisme, ou comment atteindre la prospérité sous le règne efficace d'un parti unique et à l'abri de toute «dérive» vers le système des démocraties libérales à l'occidentale.
Lee Kuan Yew était un remarquable connaisseur de la Chine, où il effectua 33 visites et dont il avait connu intimement tous les dirigeants depuis Mao Tsé-toung à Xi Jinping, en passant par Deng Xiaoping et Jiang Zemin. TN Pas
Cher Au début des années 1990, il convia un jeune secrétaire du Parti communiste de province, celle du Fuzhou, à un dîner privé. Manifestant son estime pour ce «prince rouge», héritier d'un ancien dirigeant du PCC, il avait décelé le potentiel de celui qui deviendra l'actuel numéro un chinois. «Il a du fer dans son âme, disait Lee de Xi Jinping. Un homme de la trempe de Nelson Mandela. Une personne d'une grande stabilité émotionnelle et qui ne laisse pas ses mésaventures et souffrances personnelles affecter son jugement.»
Bon prince, le président chinois a salué lundi en Lee «un vieil ami du peuple chinois, un fondateur, un pionnier et un promoteur des relations sino-singapouriennes». «Lee Kuan Yew était un homme d'État asiatique doué d'une influence unique et un stratège cultivant à la fois les valeurs orientales et une vision internationale», a ajouté Hong Lei, porte-parole de la diplomatie chinoise. Il avait réussi un tour de force: Tn
Requin être à la fois proche de la Chine, dont il anticipa très tôt la montée en puissance, et des États-Unis.
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